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Famille SUP’ DE COCH

COCHONS TRÈS SUPÉRIEURS, et ils le savent

Famille SUP’ DE COCH

LE GRAND PÈRE
Né, élevé, et transformé en France… il en fait une affaire d’honneur ! II en connaît des animaux qui voyagent en Europe et revienne en chantant la Marseillaise dans nos rayons. Pas de ça dans sa famille. Casanier il est, casanier il restera. Et c’est pareil pour sa descendance : elle ne quitte pas nos terroirs.
LA GRAND MÈRE
Elle sait faire du bon café… heu, pardon, du bon pâté. Comme son mari, elle est un tantinet à cheval sur l’origine des choses. Pas question que dans sa famille on ne sache pas ce qu’il y a dans l’assiette. Question maïs (dont elle raffole), son choix est fait : pas d’OGM (organisme génétiquement modifié). Son maïs, elle le prend nature. 
LE PÈRE
Comme tout cochon élevé sans antibiotique dès la fin du sevrage, il applique la règle sacrosainte : si dans sa famille (sa bande) un cochon vient à être malade, il peut être mis à l’écart (pour éviter la contagion aux autres). Et s’il doit être soigné par des antibiotiques, il est évidemment écarté de ses congénères (même si là, ce n’est pas contagieux !).
LA MÈRE
Pour le bien être de ses petits porcelets, elle les garde au sein plus longtemps : 28 jours au lieu de 21 en moyenne. Comme ça ils ont toute l’affection qu’il faut pour s’épanouir et leur flore intestinale a le temps de mieux se préparer au passage à la bouillie (c’est toujours un peu stressant pour les petits, le passage à la bouillie).
LE FILS
Il n’aime pas le stress, ça le rend malade. Faut prendre soin de lui. Un exemple : quand il grandit, il a besoin de plus d’espace. Donc on le change de « maison », avec ses frères et sœurs. Tous ensemble, ils peuvent stresser et se mettre à courir (façon : on va louper notre métro, si vous voyez ce que je veux dire. Pas franchement détendant). Alors on organise le mouvement tranquillement et très lentement (et on leur dit que le métro les attendra !)
LA FILLE
Elle a 12 frères et sœurs (la taille moyenne d’une portée pour une truie). Elle les aime tous beaucoup ! Ils font tout ensemble : jouer, manger, apprendre, dormir, chanter, ronfler, discuter. Alors ils sont tellement bien entre eux, qu’on n’a pas le cœur de les séparer. Ils restent en famille toute leur vie. Vous en connaissez beaucoup des fermes comme ça, vous ?

Jeu des 7 familles Téléchargez, imprimez
et à vous de jouer !
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Règles du jeu Votre objectif : produire du porc bien élevé, sans antibiotique dès la fin du sevrage. Pour gagner la partie : réunir plus de familles que les autres joueurs. Attention ! Gagner la partie ne permet pas de prétendre produire du porc Bien élevé ! Pour atteindre cet objectif, il faut réunir la totalité des 7 familles... ce serait trop facile !! Si vous réussissez, vous êtes Maître de Brocéliande et du bon jambon... ;-) Pour maîtriser toutes les subtilités du jeu et gagner à tous les coups Rendez-vous sur www.broceliande.fr et découvrez la bonne manière qui se cache derrière chaque personnage : vous comprendrez et mémoriserez tellement bien les familles que vous serez imbattable ! PEUT-ON TRICHER ? Non, comme dans n’importe quel jeu et a fortiori quand on veut faire du Porc Bien élevé...